La villa Mhystios- depart de la Forteresse

[je commence à écrire ici car c'est la maison des parents de Palatina, c'est pas besoin que quelqu'un repond =) ]


Le soleil brillait avec force sur la Forteresse, pour le malheur de ses habitants. Le climat et les terres étaient déjà bien secs pour que, en plus, ce grand balon jaune dans le ciel leur enlève le peu d'humidité restante. Les nuages d’insectes n’aidaient pas non plus. Du côté septentrional de la cité se levaient trois enormes edifices et autour des camps d’entrainement où on voyait des gens de toutes les races entraîner. De ces constructions blanches avec peu de tours mais beaucoup d’auteur, plein de personnes entraient et sortaient en permanence, quelques uns soldats, d’autres commerçants, hauts fonctionnaires ou même des civiles, bien qu’il n’y avait pas des civiles proprement dit, puisque tous avaient à un moment reçu l’entrainement de soldat obligatoire.
De l’edifice principal sortit, entre la multitude, une jeune femme, haute et fine, avec une armure verte et une épée attaché à sa ceinture. Elle s’ouvrait entre l’énorme variété de curieux personnages de différentes races en busculant, comme tout le monde d’ailleurs. Mais cette jeune le fesait avec especial énergie car cette journée avait été la pire journée en beaucoup de temps (en dehors du climat, qui empirait son humeur) et avait été humiliée, critiquée et en plus avait du suporter ses hommes qui paraissait que ce jour là avaient décidé se comploter pour la mettre de mauvaise humeur. La dernière partie avait été la plus difficile: donner à ses superieurs, la plus part d’eux, hommes grossiers et très severes, la Grande Notice: elle allait quitter l’armée. Elle se souvenait de ses visages lorsqu’elle l’annonça; ils la regardèrent en premier amusés, comme si cela n’était qu’une farse, puis avec stupefaction et enfin un peu de colère. C’était très bizarre que quelqu’un n’ose quitter l’Armée d’Helios, ceux qui avaient l’idée ne le fesaient presque jamais (surement par peur), et qu'elle, Capitaine, le fasse d’un jour à l’autre sans beaucoup d’explication, leur metait dans cet état. Enfin ils avaient cédé et, après quelques stupides burocraties, elle pu sortir de l’edifice.
Palatina Mhystios, jeune guerrière et ex-capitaine de la Deuxième Section, ne voulait que rentrer dans sa maison, avoir un bon bain et s’oublier de ses preocupations dans l’armée. Mais malheuresement, elle savait que ça ne serait pas possible car c’était le jour aussi d’annoncer à ses parents les nouvelles.

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Elle avança par les rues de terre et pierre entre les atelliers et les commerces, les animaux et les personnes, qui formaient entre tous une multitude animée et bruyante.
Au centre de la cité s’élevait un immence chateaux magnifique mais terrifiant, avec cinq tours principales, plusieurs autres plus petites et une construction très haute avec un toit en forme de coupole au centre. Partout sur les côtés des gargouilles en pierre étaient possées, regardant toute le Forteresse du haut. Même le jour, qu’elles dormaient et ne pouvaient pas bouger, elles donnaient l’impression de voir tout ce qui se passait et que, plus tard la nuit, elles informeraient de tout à son maître, Helios. Ces gargouilles étaient horribles: toutes différentes les unes des autres, avec des têtes de chien, lion, cheval, corbeau ou vautour, même de petits demons, et des corps d’autres animaux vraisemblables avec, bien sur, ses enormes ailes. C’étaient les espions du puissant magicien, et personne voulait se croisser avec ses petites bêtes malignes, si bien qu’ils savaient qu’elles étaient là pour proteger la cité. Pauvres les soldats qui doivent faire la garde nocturne, pensa Palatina pendant qu’elle regardait les animaux en pierre.
Par chance, pendant son service l’avait fait très peu de fois et jamais elle n’avait croisé une gargouille, si bien qu’elle les avait vu plusieurs fois.
Entretemps, elle avait déjà arrivée au quartier où elle habitait. À cinquante mètres se distanguait une maison de trois étages toute blanche. C’était une villa très singulière, bien entretenue en comparaison des autres qui l’entouraient, et la jeune fille s'enorgueillait de sa maison. Enfin, la maison de mes parents, puisque demain je pense p... Elle ne put finir car elle entendu la voix de sa mère qui l’appelait.

-Palatina, je voulais savoir ton avis sur les fleurs de la vase rose du salon...

Celle ci n’entendait qu’à moitié les mots de sa mère, ses pensés étaient bien loin, se demandant comment elle pourrait parler à cette femme aussi douce de la dure réalité, que sa seule enfant allait...

-Palatina? Peut tu pretter un peut d’attention s’il te plaît? Tu preferes celles ci ou les autres?

Elle lui montra en premier des fleurs jaunes et oranges avec des longs pistiles, puis unes rouges avec des petits points blancs.

-Les rouges, mère, repondit-elle.

Ce type de choses ne lui interesaient absolument pas, ce monde de decors, bals, ennuyantes conversations entre vielles dames, les présentations en société... bref, le monde de sa mère, ne l’avait jamais attiré, et s’en foutait bien de tout ça. Ce qu’elle aimait, c’était les combats, les compétitions, la vie dans la nature et les aventures.
Mais même si elles étaient complètement différentes, elle avait toujours aimé sa mère, et aussi son père, cet homme un peu égoïste et hautain, mais qui tout de même avait beaucoup d’amour pour sa famille. C’est pour ça qu’elle était un peu triste de leur donner la notice. Mais elle s’était décidée, et rien au monde allait pouvoir l’arrêter.

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Elle enfila directement vers les grands escaliers blancs qui étaient au centre du salon et entra dans sa chambre. L’habitation était blanche et espacieuse, simplement ameublé mais replete de tapisserie montrant des scènes de parties de chasse et des paysages de Solaria dont Palatina ne se rappellait point.
Puisque sont père n’avait pas encore revenu, elle reconsidera l’idée d’un bain. Elle aurait largement le temps et en plus, celle-ci serait surement la dernière opportunité en quelques semaines de se donner un bon bain d’eau chaude...
Palatina appela sa bonne pour qu’elle le prepare, quand cette dernière sortit elle se s’allongea sur son lit et essaya d'oublier ses problèmes et préocupations –en vain.

À l'heure du dîner, Palatina ne se tenait plus en place. Ses parents la regardaient entre curieux et un peu méfiants, presque jamais leur fille se comportait comme ça, sauf quand elle devait leur donner une mauvaise nouvelle, et ils avaient complètement raison.
Son plan était de leur parler avant manger, mais elle le repensa et decida qu’elle ne voulais pas afronter un dîner avec des parents entre tristes et en colère, donc elle leur parlerait après.

-Palatina, je sais pas ce que tu as, mais je ne peut suppporter plus ton impatience, lui dit son père quand ils étaient en train de finir le café dans un petit salon reservé à côté de celui où se mangeait, dis moi ce que tu dois dire maintenant.

Celle ci se surpris par un instant, mais se rappela avec un sourire de tristesse que ses parents la connaisaient très bien et savaient quand elle se comportait ansi.

-Oui, c’est vrai -elle soupira. Père, mère, j’ai une annonce à vous faire. Et j’ai bien dit, une annonce, pas une question, je l’ai déjà pensé et repensé et enfin j’ai pris ma decision: je vais partir de la Forteresse.

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Pendant quelques minutes, ses parents restèrent avec la bouche ouverte, comme s’ils n’avaient pas du tout compris les mots de leur fille. Après son père se releva en ouvrant et fermant la bouche, ne pouvant pas parler. Son visage devenait au même temps d’un couleur rouge de plus en plus obscur jusqu’à ressembler à un tomate. Palatina sourit en pensant à ça, puisque son père était pas très maigre, mais avec une figure plutôt grosse, admeton le...

-Pa-pal... Palatina, n-ne fais plus ce type de blagues! C’est horrible, lui dit sa mère, comme si tu pouvais nous faire ça, à nous, tes parents!

-Mère, c’est vrai, je vais partir d’ici et je vais parcourir le monde et découvrir... de-découvrir la vérité de ce magicien qu’on a pour roi et...

-Palatinaaa!! Si tu continues a parler ansi de notre souverain et de ces stupides fantasies, ça va mal aller pour toi, tu est averti- cria presque son père.

Palatina leur adressa un sourire empreint de tristesse. Elle comprenait un peu ses parents, et savait qu’il allait être difficile qu’ils comprènent son choix, mais elle était décidé et elle allait partir quand même.

-Père, mère, je vous aime comme une fille ne pourrais pas aimer ses parents, mais si vous m’aimiez comme moi je le fait, vous deviez comprendre que maintenant je suis adulte, et que je doit prendre mes propres decisions.

Ses parents s’avaient soumis à nouveau dans le silence. Que peuvent ils dire, puisqu’ils savent très bien que j’ai raison... pensa Palatina, puis continua à voix haute :

-Pour ça, j’éspère que vous m’aidiez à réaliser mon rêve de voyager et que, un jour, vous pourrez me pardonner.



C’était la nuit dans la Forteresse. Dans le cartier du commence il y avait presque pas de mouvement dans cette partir de la capitale à l’exception de quelques soldats fesant la garde nocturne et des ombres des gargouilles volant dans le ciel nocturne. Soudant une silouette, surement appartenant à un Zark, apparut et avança entre les commerces pour arriver jusqu’à un edifice ou brillait encore le feu des torches. La silouette s’oculta dérrière une pile d’objets pas identifiables avec le peu de lumière qu’il y avait et regarda les personnes situés autour de quelques charrettes. C’étaient des commerçants (ou plutôt des mercenaires au service d’Helios) qui se préparaient pour sortir de la Forteresse et aller chercher des objets rares du monde d’extérieur pour les vendre dans la capitale.
Et Palatina avait en tête partir en cachette avec eux cette même nuit.

Après avoir parlé à son père et sa mère, qui acceptèrent enfin sa decision, ils pensèrent à la fuite. Comment Palatina pourrait sortir de la Forteresse sans permission ? Le faire seule la nuit serrait impossible, en premier car ses parents s’opposèrent inmediatement et puis car on pouvait pas fuir des gargouilles. Après son père s’est rappelé des commerçants (mieux appelés mercenaires) au service de la Forteresse allaient partir cette même nuit vers l’extérieur en recherche d’objets de valeur qui pourraient ensuite vendre dans la cité. Palatina devrait se faire passer d’agent d’Helios qui devait sortir en cachete pour une mission spéciale ailleurs, et ça aidait le certificat qu’elle gardait encore de son rang de capitaine.
Donc elle garda le peu d’objets qu’elle voulu garder -une épée appartenant à sa famille faite d'un métal des montagnes de Solaria avec trois petits diamants incrustés, attachée à sa ceinture; une dague fine et très aigue, et un collier dorée appartenant à sa famille il y a plusieurs générations- et une petite bourse d’argent. Elle allait partir dans quelques heures, et utilisa ces dernières pour parler et embrasser ses parents.
Pendant qu’elle rememorait les dernières heures, les commerçants avaient fini de préparer toutes les charrettes et se disposaient à partir. Palatina rassembla tout son courage et adopta un visage mistérieux et rude en s’avançant jusqu’aux quatorze gens qui étaient devant.
Quand ceux-ci virent sa silouette, ils se mirent en garde et quelques uns arrivèrent jusqu’à se mettre en position defensive.

-Oh, messieurs, pourquoi tant de méfiance!, salua Palatina avec amusement, si on est tous dans cette cité des honorables serviteurs d’Helios!

Un des personnages, un Elfe de sang , s’avança et dit:
-Et bien, je crois que votre apparition dans ces circonstances est bien une bonne raison pour ça non? Apparaître comme ça, seule des ténébres de la nuit et armée avec une épée?

Palatina sourit, déjà l’Elfe lui avait plu avec ses manières. Un autre aurait pu parler bien pire.
-C’est que je dois le faire en cachete, justement, pour le bien de la Forteresse.
Elle s’approcha un peu plus du groupe et leur dit en ton confidenciel:
-Je suis une agent du souverain et je dois partir en mission, mais je dois le faire en secret.

Un homme lui demanda de manière grotesque une sorte de « tu as quelque chose qui le pouve? » Elle pu à peine se contenir d’attaquer le Zark mais enfin montra son certificat, puis le garda soigneusement et demanda:
-Alors? Ma mission dois être rapide donc si on peut partir rapidement ça serait mieux.

En moins de quinze minutes ils étaient en train de sortir en passant par une porte secondaire qui gardaient deux soldats. On voyait son incomodité envers les gargouilles qui patroullaient près de la porte et qui regardaient les soldants aussi que les voyageurs... Helios serait bientôt au courant de leur sortit, mais Palatina savait qu’ils avaient sa permission. Mes aventures commenceront dès aujourd’hui, et j’espère pouvoir connaître la vérité sûr ce fameux tout-puissant magicien.